dimanche 28 juin 2009

Pfiou !

Bien ! voici donc un 1er essai de planche pour mon petit projet de bande-dessinée.
(Ambiance terne et un peu sale mais justifiée pour plusieurs raisons que je n'expliquerai pas dans ce post de suite parce que j'ai la flemme :D)

Un sacré boulot de patience en tout cas, surtout quand on a l'habitude de dessiner des choses en peu de temps pour les regarder ensuite ce même laps de temps et passer à autre chose en ignorant tous les petits défauts inhérents au gribouilli qui font que l'on ne s'attarde pas dessus.
"- Aîe ouille, je veux finir, je veux finir ! Voir ce que ça donne maintenant !
- NON ! Fais un truc bien ! Termine-le bordel !! )"

Objectif à moitié réussi en ce qui concerne les cadrages et le mouvement (de nombreux élements/posings auraient dus être approfondis pour une meilleure compréhension de l'action... sur ce point l'anim et la bd c'est la même chose).
D'ailleurs ma soeur m'a gentiment planté en me faisant un petit "mais attends qu'est-ce qu'ils font là en fait ?"

J'espère que le commun des mortels ne me demandera pas la même chose...

Si ?

Ah.

...tant pis .

J'aurai en tout cas appris à:
1) Visualiser au maximum dès le départ l'ensemble de l'action ("Attends comment la murène peut empêcher le renard de reprendre sa malette; comment place-elle sa main en fonction; quel mouvement le renard va-t-il faire exactement pour récupérer de force cette malette ? etc etc)
2) FREINER MON IMPATIENCE afin de ne pas mélanger propre et brouillon dans cet objectif idiot et faux de gagner plus de temps (car en faisant comme cela, ça en prend d'autant plus)
3) Prendre pleinement conscience des possibilités offertes en matière de flexibilité par les crayons de couleurs, et les possibilités d'ambiance chromatique offertes en complément par le numérique. Même si sur ce dernier point je n'ai rien fait sur cette planche, mais je pense en avoir saisi le principe ..enfin j'en reparlerai... vous verrez bien :)

Une nouvelle page pour mettre en application ces points et faire quelque chose d'autant plus abouti en terme de finition ( et surtout d'ambiance !) Enfin comme je l'ai dit -pour ceux que ça intéresse- vous verrez bien ! :)



la planche scannée: avec ses différences d'intensité chromatiques dépendants de la transparence de la feuille et donc de son épaisseur (elle-même intimement liée au "frottement" eu avec la gomme/mon acharnement en ce qui concerne les zones les plus intenses : cf 4ème case pour exemple)

lundi 15 juin 2009

Hey ! Dans "Monkey" il y a "Money" !



Un peu de recherches de persos tous frais du jour, et pas n’importe lesquels puisqu’ils constitueraient les principaux d’une idée de scénario qui me trotte axé sur l’argent (ouaaais !!! L’argent ! L’argent !! :p )



Attention je préviens, on part dans de la masturbation intellectuelle !




Nan je dis ça parce que tout simplement à partir de petits questionnements plus ou moins existentiels de tous les jours (allez me dites pas que vous aimez pas ça !) j’en reviens toujours à une même question d'ordre économique conditionnant d’autres [– et là encore, je peux donner cet exemple eu au cours d’une conversation initialement axée sur l’éducation nationale [ en particulier axée sur l’intérêt plus que douteux ( mon avis en tout cas) de bon nombre de formations de l’enseignement supérieur actuel, que l’on parle de certains cursus de fac, ou encore de certains bts (n’évoquant en aucun cas le domaine des arts appliqués ... non non !… surtout pas ! ....) mais ceci est une autre histoire …]
….cette question étant :
Mais qu’est-ce qui limite donc les Etats de faire davantage d’emprunts/ Pourquoi a –ton toujours cette foutue manie de dire : Non ! Non ! pas plus de dettes d'Etat ! pas plus de dettes d'Etat!!
Ça peut être con de dire ça, mais en fin de compte je me suis toujours demandé quelles étaient les rouages des relations financières entre Etats et les banques quand on sait que les States sont (étaient en tout cas, avant les subprimes) dits à la fois number one en terme de puissance éco, tout en étant number one aussi en termes d’endettements?

En bref quand je cogite un temps soit peu sur quelque sujet actuel (éco, politique, philo, resto...), j’en reviens toujours à cette foutue question (et d’autres qui tournent autours de cette interrogation centrale).

Aucune œuvre fictive (bd , roman etc ) n’y ayant répondu je me dis qu’il y aurait vraiment matière à faire sur le sujet en termes de scénarios (« scénarii » pour les purs) politico-thrillers et co.
Mais bon après vu ma culture littéraire, je ne doute pas non plus être passé à côté de gros titres traitant de la question. Si vous en connaissez dites-moi ! (même des films tiens allez !)



Voilà tout ça pour dire que bénéficiant des connaissances d’une huitre en la matière je me devrais de lire un max de bouquins sur la question tout en sachant définitivement que je ne serais probablement jamais à même d’écrire une histoire basée sur ce thème qui tienne un temps soit peu la route, qui soit CREDIBLE.

Je n’ai pas fait d’études d’éco, n’en ferai probablement jamais, mais j’me bougerai les fesses pour en savoir plus sur le fonctionnement de cette grosse grosse machine qu’est …. l’argent.


.... Pour l’heure, comprendre ce qu’est la titrisation sera déjà bien pour moi….



….Ouais !…




….On va déjà commencer par comprendre l’histoire des subprimes, hein ?









Voilà ! Pas trop choqué par cet élan de mastubation intellectuel ? On revient d’Annecy, j’ai l’artbook de Kung Fu Panda entre les mains, le repos c’est fini, on se remotive, on dessine, on se recentre sur ses projets persos. Hop !




… Kirchberg Kirchberg … à moi les jolies photos !